Décoration figurant sur le panneau central de la cloison en verre à l'entrée de l'église
Saint Eleuthère.
En la cathédrale de Tournai
La châsse de Saint- Eleuthère séjourna à Douai (1566) pour éviter la profanation par les iconoclastes. A la Révolution française, elle fût à nouveau cachée dans une maison particulière à Tournai.
En 1801 Monseigneur Hirn en fit la translation solennelle à la cathédrale de Tournai où elle se trouve toujours aujourd'hui.
SAINT ELEUTHERE EST CHEZ LUI EN L'EGLISE DE BLANDAIN
comprend des extraits du Livre des 250 ANS
SAINT ELEUTHERE vous accueille dès que vous franchissez la porte d'entrée de l'église.
Statue en bois qui provient de l'ancienne chaire de vérité. Hauteur : 138 cm
Largeur : 120 cm
LE CENOTAPHE (aussi appelé GISANT)
Texte issu du "Livre des 250 ans"
La GRANDE PROCESSION de TOURNAI.
Les PORTEURS BLANDINOIS
Texte issu du "Livre des 250 ans"
Aquarelle peinte en 1971 par Noël LERICHE peintre tournaisien de renom.
Oeuvre "sanguine" datée de 1998 réalisée par Raymonde DORCHY,
épouse Robert BLERVACQ.
Vidéo d'Etienne Walhain
ACT 3492 / A 26. Les offices propres de la très ancienne et très célèbre cathédrale de Tournai et du diocèse.
Traduction du propre achevée le 20 de janvier 1721. A. J. Delrue. 06 FEV 2020
Hymne : Célébrez, ô Nerviens, la gloire d’Eleuthère, cet illustre pasteur éclaira nos aïeux ; dix mille, il en marqua du divin caractère, par ses soins précieux.
Hymne des j. vespres.
Tournai de ses remparts voiant avec douleurs que Blandain retenait dans un lieu méprisable les os de son apôtre , il presse avec ardeur son retour dans son temple auguste et vénérable.
Le prélat, de son peuple et du clergé suivi, confie aux citoyens ces cendres précieuses. Les armes à la main, le soldat est ravi parmi les doux concerts des voix mélodieuses.
Cependant de Blandain le peuple mutiné voiant avec regret qu’on enlève sa gloire, excite un grand tumulte et d’un bras indigné, il tente vainement une injuste victoire.
Ces mutins font voler leurs traits de toutes parts vers cette urne et son sacré cortège ; mais le ciel sur eux fait retourner les dards et punit le forfait d’un combat sacrilège.
Le perfide escadron, aveuglé de fureur, se voit frappé des traits qu’il a lancés lui-même et noié dans son sang ; pour surcroit de malheur, à son bras homicide, il doit son sort extrême.